
50 % des 281 Fintechs (chiffre fin 2017) sont sur les métiers de la banque, et elles sont une cinquantaine à proposer du paiement alternatif. Pour autant, une autre cinquantaine cherche à s’établir dans le secteur de l’assurance, et un peu moins d’une vingtaine à se positionner en tant qu’acteurs de la « blockchain ». L’effet de la réglementation « ad hoc » de 2014 est maintenant révolu, et les Fintech disposent d’un cadre réglementaire plus mature pour encadrer leurs activités et services. Ce même cadre est à la fois vecteur de contraintes et d’opportunités pour l’élargissement de leurs services. 2018 étant riche de nouvelles réglementations touchant le digital en transverse, l’effet cascade à prévoir est un nouvel élargissement des services des Fintech.